Autrefois gouffre émissif de 12 mètre de diamètre et 10 mètre de profondeur, sur un ruisseau souterrain. Les anciens à une date inconnue (début du 19e siècle ou plutôt fin 18e) ont construit un puits en maçonnerie  de deux mètres de diamètre intérieur et ont comblés les cotés. Le sommet de ce puits est recouvert d’une margelle circulaire d’une seule pièce de 2m80 de diamètre extérieur, de 2m de diamètre intérieur, et 0m80 d’épaisseur. Cette pierre d’après les anciens, venait d’une carrière de Chaumercenne. Elle est sur son pourtour intérieur crénelée par les cordes des tireurs d’eau ( les gens du village) Elle est maintenant gelée et intransportable. Toujours d’après les anciens, le puits était alimenté par deux courants. Un fort, venant du bois de Virey ( il y a plusieurs grands effondrements dans cette direction) et un plus faible venant du bois du village. Le cours viendrait de Chamaillin en passant par les combes……………….. A chaque forte crue, ce puits déborde, ses eaux desservent le vallon qui va vers Hugier, joignent au passage ceux du Pouzelot, autre gouffre émissif, sis dans le même vallon, avant Hugier leurs eaux rejoignent dans la prairie d’Hugier, celles plus importantes, qui viennent de la Fouirouse de Chancevigney, le tout s’en va rejoindre les eaux de la source de Magney et le ruisseau de Rosière, ce dernier après avoir traversé le village de Sornay, se jette dans l’Ognon au lieu-dit les breuillets. 

Théorie selon laquelle le puits des............................ VOIR